Terrible two quand tu nous tiens !!!

Bonjour,

Voilà mon cher petit angelot à troqué ses ailes pour des petites cornes diaboliques !
Avec une spécialisation de je deviens incontrôlable en lieux public , je deviens une guimauve vivante quand on veut m'habiller , champion de jeté de lunettes ( cassée 2 fois déjà ) , de je rigole quand on me gronde ou de faire tout ce qui est interdit ! ( avec le regard qui en dit long et un petit sourire qui va bien )....
Bref vous l'aurez compris pas facile à gérer , j'ai lu "Au coeur des émotions de l'enfant " , "j'ai tout essayé " mais malgré ça je ne trouve pas toujours la patience pour ne pas exploser au bout d'un certain temps !

Et vous comment gérez vous le "terrible two ?"

ça dépend des jours... Parfois quand il se met à hurler et se laisse glisser au sol parce qu'il ne veut pas que je l'habille par exemple, je le laisse faire : j'accompagne la descente pour qu'il ne se cogne pas la tête et je le laisse crier un peu... d'autres fois je n'ai pas la patience et c'est la lutte pour l'habiller (parce que j'essaie de ne pas le blesser tout en évitant les coups de boule, alors que lui fait vraiment n'importe quoi sans état d'âme  ).
Souvent s'il crise avec moi il se calme avec le papa, mais pas toujours.
Pour les lunettes je le force à les lâcher et je gronde (elles résistent, mais jusqu'à quand ?), mais il y revient toujours ; en général je les enlève en rentrant à la maison et je les pose hors de sa portée, mais bonjour le mal de crâne donc parfois je les garde, et là faut vraiment ruser.

Je donne du mou sur tout ce que je peux (changer de pièce pour jouer même si ça implique moins de confort pour moi, le laisser manger sa soupe tout seul même s'il en met beaucoup à côté, ne pas insister s'il n'en veut plus - il mangera mieux plus tard), mais certains jours il est véritablement usant !

Pour les lunettes , je ne peux pas permettre de ne pas les mettre je suis myope comme une taupe .. ah oui les coup de boules on y a le droit aussi ici !
Sinon je fait un peu comme toi , je laisse glisser au sans figuré comme au propre ( quand mon cher fils à décider de faire la guimauve ! ) d’ailleurs hier je me suis retrouvée dans un magasin à lui mettre un anorak par terre ( il faisait l’étoile de mer ) ... j'ai pas encore les hurlements qui vont avec sauf si je le porte !

Moi je l'ignorai... je continuai mon chemin même dans un lieu publique (un minimum sur et en gardant un oeil sur elle quand même), et comme elle ne voulait pas être seule, elle arrêtait net et me rejoignait...

sinon, la mise au coin systématique où qu'on soit, ça marchait assez bien...

Continuer mon chemin en lieu public je ne peux pas il se barre ! Rien à cirer de toi môman ! tayyooo!
Le coin vous faites comment ?
Explication du pourquoi puni et mis au coin ?
S'il ne reste pas ?

Ben s'il ne restait pas, comme MiniPiou  , je le remettais jusqu'à ce qu'il comprenne, patiemment, sans m'agacer et si ça ne marchait toujours pas, je le punissais d'un truc qu'il n'aimait vraiment pas mais je le prévenais toujours avant et surtout, je faisais ce que je disais donc attention à la punition choisie. 

eden67 a écrit:

Pour les lunettes , je ne peux pas permettre de ne pas les mettre je suis myope comme une taupe ..

Heu...j'ai une solution: mettre des lentilles?!!!

Je plaisante mais ici on a eu quelques manifestations: refus de manger avec nous alors qu'il mange super bien chez nounou.La solution a été de passer le relais au papa qui a insisté.Il a crié pleuré, on a finit par le mettre au coin et là ça a été mieux.Donc maintenant on patiente, on tente et quand on voit que rien n'y fait on lui explique qu'il va au coin car il est trop énervé pour manger et qu'il revient quand il est calmé.
Il n'y reste pas souvent et ça ne le fait pas pleurer plus mais quand il revient en général il est calmé et mange.
Sinon autre soucis en ce moment, il mord son père,le tape le soir quand celui-ci le prépare pour le coucher.Donc même sanction: le coin en lui expliquant que papa est faché et qu'il ne doit pas le taper et le papa y retourne dès qu'il est plus calme, en principe sa fonctionne mais le papa est frustré de la situation.
Moi pour l'instant il ne me le fait pas mais j'appréhende la suite avec l'arrivée imminente du petit frère je crois qu'on va avoir droit à quelques crises...

le coin :
je lui disait "tu es puni parce que ça (très court la raison), tu vas au coin"
et à la fin, avant de lever la punition, je lui demande de me dire pourquoi elle était puni, si elle ne sait pas je lui reexlique et lui demande de me le redire pour être sur qu'elle sache...

si elle ne restait pas, même technique que titounou, elle y retournait autant de fois que necessaire, jusqu'à ce qu'elle y reste. elle a testé 2 ou 3 fois, puis a arrêter de tester (de temps en temps elle re-testait un peu pour voir, mais vite elle y restait bien).

dans la rue, la punition, c'était attachée dans la poussette, et si besoin la poussette isolée dans un coin quelques secondes... très très efficace !

Je me sens moins seule !!  

Mimine , je ne supporte pas les lentilles    .. sinon mon petit loup des mers me tire aussi les cheveux et n’hésite pas à frapper si je dis non !  On avait le même problème il y a quelques mois que je croyais réglé ( mais avec les enfants il ne faut jamais croire qu'un problème est réglé )

Je vais donc tester le coin , faire comme titounou et Lise ainsi que mimine ... , je vais en parler à Papa  que l'on soit sur la même longueur d'onde :sage: .

Autre chose le soir il est tellement énervé qu'il a du mal à s'endormir ( pas avant 21h ou 21h30) pourtant il est fatigué (mise au lit vers 19h30) ... que fait il tout ce temps la au lit ( il joue avec ses doudou , fait du catch .. bref )  du coup il dort plus tard le matin ( 8h00) .
Je lui lit une petite histoire et un calin ( enfin j'essaye car mes lunettes morflent encore , ce qui à le dont de m’énerver jusqu'au bout hein ... )

Ps je me retrouve avec des lunettes avec une branche rouge et une bleue !( en attente de la commande des branches chez l’opticien )

 Ro pardon, ce n'est pas drôle mais j'imaginais bien la scène!  

Sinon comme dit LiseE, bien te mettre à sa hauteur pour lui verbaliser clairement le pourquoi de la punition et le rappeler après l'avoir levée car souvent, ils ne se souviennent plus pourquoi on les a puni   C'est pour ça aussi qu'il vaut mieux intervenir sur le coup que plus tard, l'enfant ne fera pas le lien et se posera des questions .

Mince pour les lunettes!J'etais myope moi aussi comme un taupe.Impossible de ne pas porter de lunettes et les lentilles au bout de quelques années je ne les supportaient plus a la fin de la journée.Donc je vois ce que tu veux dire.La solution pour moi: l'opération!Depuis je revis! 

Bref, j'espère que la situation va s'arranger pour vous car c'est vrai que c'est épuisant à la longue.Et on se pose plein de questions... 
Après pour le soir c'est pareil parfois on l'entend se raconter des histoires,jouer avec ses doudous.Mais ce n'est pas systématique.

Pour les trucs vraiement "grave" genre frapper, mordre ou pour toi les lunettes, ce qui marchait aussi assez bien, c'était le "rejet" temporaire :
je lui disait très fermement "non, je ne veux pas que tu tapes, morde, touche mes lunette.... Je suis très fachée et ça ne m'interesse pas de m'occuper d'un enfant qui mord, tappe, casse mes lunette. Je suis très fachée" et je changeait de piéce. si elle venait me voir pour faire un calin (sa technique quan dje suis fachée...) ou just evoir ce qui se passait, je lui disait "non, je suis encore fachée, j'ai pas envie de te faire un calin maintenant (ou de te voir)"...
ça la marquait bien, et elle a très peu recommencé les comportements que j'ai sanctionné ainsi. Par contre il faut que ça reste exceptionnel pour être efficace je pense. Il lui arrive encore de me demander un peu inquiéte si je suis très fachée quand elle a fait une bétise, je pense qu'elle se rapelle encore de ces épisodes deux années après !
Et surtout après un petit temps fachée, je retournai la voir, je lui disais que je n'étais pas du tout contente de son comportement, mais que je me suis calmée et que je voulai bien m'occuper à nouveau d'elle si elle ne recommençait pas. et ensuite un petit calin de reconciliation ou un bisou, pour passer à autre chose.

C'est exactement le discours que tiens le papa chez nous quand il se fait mordre ou taper.Ca me rassure pour la suite de savoir que ça a fonctionné LiseE car le papa en a un peu marre et ne voit pas de changement pour l'instant.
Je lui ai dit qu'il va falloir être patient mais bon il en manque un peu par rapport à moi...  Il voudrait voir des résultats concrets très vite.

Pour ma fille en public je fais comme Lisee je m'en vais en la laissant et je surveille du coin de l'oeil. Il n'y a que la menace du coin qui fonctionne, je préviens 3 fois. Lorsqu'elle me frappe je lui attrape la main et lui dit qu'une main n'est pas faîte pour taper mais pour faire des caresses, du coup elle se vexe et se met à pleurer en me disant qu'elle ne m'aime plus.  Du coup je l'ignore et la repousse en lui disant qu'étant donné qu'elle ne m'aime plus, je ne veux plus m'attardé sur elle. C'est radical elle revient d'elle même et me fait un câlin.
Après une punition je lui réexplique pourquoi je l'ai puni mais elle refuse qu'on en reparle. Je lui dis qu'il serait plus simple pour nous deux qu'elle coopère immédiatement au lieu de s'énerver parce qu'à la fin ça revenait au même.
C'est vrai que c'est pas facile surtout en public mais il faut rester ferme et ne pas céder car à la moindre faille ils en profitent.

Ici aussi on pratique le coin ET dans n'importe quel endroit, même au supermarché.

Mon ancienne ass mat avait consigne de le faire aussi, des coins il y en a partout !

Donc on le mets au coin, à sa hauteur on lui explique pourquoi et qu'on est pas content.

Généralement il y reste peu, mais il est arrivé des fois où il ne voulait plus en partir , punaise ...

Il comprend assez bien.

Pour les fois où il nous fait mal ou si le geste devrait faire mal, il m'est arrivé de faire semblant de pleurer. RA-DI-CAL il se met à dire pardon et à me prendre dans ses bras. 

Et puis des fois oui on est moins patients et moins éducatif et un NON suffit !

Ca dure jusqu'à 4 ans apparemment

Thylane , j'ai essayé les pleurs , il se met à pleurer aussi mais ça le l’empêche pas de recommencer ( la première fois cette méthode avait bien fonctionné il y a quelques mois quand il me mordait ou tapait )

Essais de mise au coin ( hum hum il rigolait et n'a pas compris du pourquoi du comment malgré mon explication ... tentative 3 de casser mes lunettes bicolores )

Par contre ce qui semble avoir bien fonctionné c'est le " tu m'as frappé , je ne m'occupe pas d'un garçon qui frappe on ne frappe pas  " pendant une petite minute , à voir !!

Sinon nuit agité ( reveil vers 2h45 et pas moyen de le rendormir avant 4h je crois ) gros besoin de câlins d’être rassuré.

LiseE a écrit:

et à la fin, avant de lever la punition, je lui demande de me dire pourquoi elle était puni, si elle ne sait pas je lui reexlique

Du coup, il faut que l'enfant parle déjà bien... on en a encore pour plusieurs mois  
Ça m'arrive aussi de quitter sa chambre en lui disant que puisqu'il hurle, je m'en vais car j'ai trop mal aux oreilles... ben il continue à hurler. Parfois je désespère de voir une amélioration...

Ici le coin aussi et ça peut durer trèèèèèèèès longtemps. La mienne est du genre tenace. Dans un lieu public je ne la laissais pas, elle serait partie de l'autre coté! Mais par contre je la mettais dans sa poussette, une vraie punition pour elle. Sinon ma fille adore qu'on lui lise des histoires, donc si elle est insupportable on lui dit qu'on ne lira pas d'histoire de la journée.

Sinon comme dirait une amie à moi, t'aurait pas deux ans toi par hasard!

je vais suivre ce poste avec attention... ma poulette attaque aussi cette phase, et pffffffffffffff, ça va être long !! 

Pour ce qui est de taper, elle a eu une période où le soir quand je l'habillais après le bain, elle me mettait des grandes baffes, je lui disais : non tu me fais mal, je n'ai pas envie de m'occuper d'une petite fille qui tape, et je la laissais dans sa chambre quelques minutes, ça a été radical en trois fois, elle ne l'a plus refait .
(ça a marché pour les tentatives d'arrachage de lunettes aussi, je la mettais seule dans sa chambre, et je partais en lui expliquant que ça fait mal)

Pour ce qui est du coin .... on a commencé à tenter lors des grosses bêtises/caprices, et c'est très compliqué. La première fois qu'on l'a fait, papa lui a dit '' J. tu vas au coin, et tu réfléchis aux conséquences de tes actes" évidemment j'ai éclaté de rire, donc pour elle, le coin c'est très amusant comme endroit ! Et le pire c'est que j'y repense chaque fois que je la mets au coin, et je dois me bouffer les joues pour pas éclater de rire .

La laisser dans un lieu public, on a jamais tenté ( vu qu'elle se barre déja du parc pour aller dans l'église qui est à coté ) je pense pas que ça la gênerait; la vraie punition, c'est le retour à la case poussette !

Ici aussi on est en plein dedans... J'avais un bon dormeur, bon mangeur plutôt cool, je me retrouve avec un insomniaque neophobe alimentaire en pleine rebellion !!!
Il n'a que 21 mois donc je me dis que j'en ai pour un moment.
Sa petite soeur arrive dans 1 mois max donc ça n'aide pas. Je me disais que j'allais avoir du mal à gérer un nouveau-né, en fait c'est plutôt le grand qui va me faire galérer, je sens !!
Ici aussi, je suis devenue spécialiste de l'habillage au sol, et de la course poursuite (dehors, dans les magasins, son grand plaisir est de s'enfuir en se marrant... Et le fait de l'ignorer ou de partir n'a aucun effet, au contraire !)
Parfois je garde ma patience, mais d'autres fois... Il m'exaspère tellement que je me retrouve à crier et à me fâcher et je déteste ça. Je ne gère pas toujours bien, surtout quand je suis fatiguée et/ou pressée (C'est tellement exaspérant de courir après lui dans la maison pour lui mettre ses chaussures qu'il enlève juste derrière, d'essayer de lui mettre son manteau quand il fait le chewing-gum tout mou... Et j'en passe !!)
Je lis vos conseils et astuces avec beaucoup d'intérêt et je vais surveiller le sujet !

Ce que je trouve le plus difficile à supporter finalement, ce sont les pleurs/hurlements systématiques dès qu'on ne fait pas ce qu'elle veut... Quand on lui explique ce qu'elle a fait de mal, elle pleure et refuse de nous écouter. Si on essaie de lui faire répéter, rien à faire, des chouineries ! 

Ici on a abandonné le coin parce qu'elle léchait les murs (  ) donc maintenant on l'assied sur une chaise, hors de portée de tout objet/mur/table.

Un texte super qui m'a bien fait rire tellement les situations sont vraies !!!   

Une maison a beau être hermétique et solidement construite, un ouragan peut tout de même la frapper de l’intérieur. En fait, ça se produit dans toutes les maisons où vit un enfant de deux ans. On se demande parfois comment font nos gentils démons pour nous faire grimper dans les rideaux si souvent. Voici en grande primeur LEUR guide de référence en matière de crises : 


La crise du Non :

Il s’agit du niveau de départ de cette belle aventure. On commence par dire non, puis on ajoute les variantes. Non au bain, non au souper, non au lavage des mains, non au dodo… Avec l’expérience, on peut se permettre des extras : coups de pieds, coups de poings, culbutes et pirouettes diverses pour échapper au contrôle des parents. Cette crise permet aussi de faire perdre un temps précieux aux parents pressés et de transformer une corvée de 30 secondes en épopée d’une demi-heure


La crise hollywoodienne :
On se jette par terre, on s’effondre, on joue la totale. Il est important de démontrer une immense détresse, de paraître abattus par la douleur insoutenable de se faire refuser un biscuit au chocolat avant le souper. Un bon contact de tout le corps avec le plancher est essentiel durant ce spasme physico-émotionnel.


La crise molle :

Une méthode simple et efficace surtout quand les parents semblent pressés ou essaient de nous mettre des vêtements. On s’efforce alors de devenir aussi consistants que de la purée de pomme : impossible de tenir sur nos pattes. Variante intéressante : devenir complètement rigide lorsqu’on tente de nous asseoir dans le siège d’auto.



La crise de l’idée fixe :

L’idée fixe en question peut-être une activité, une phrase ou une question anodine dont on ne peut se départir. À la base, l’idée n’a rien de bien méchant, mais répétée 412 fois en quelques minutes, elle produit son effet sur un parent exaspéré. Celui-ci use parfois de subterfuges afin de nous changer les idées, mais c’est peine perdue. Se termine habituellement par une autre crise, pigée au hasard.



La crise du Moi-Maintenant :

En tant que membres du « Terrible Two », nous sommes en droit d’exiger que TOUT nous soit dû, au moment où on le souhaite. Il est inutile de partager quoi que ce soit, pas même la télé avec les parents. Il n’est pas question non plus de nous faire patienter pour aucune raison lorsque l’on souhaite quelque chose. Toute infraction à cette règle nous permettra de hurler haut et fort notre indignation.



La petite révolte :

Une méthode éprouvée qui consiste à faire volontairement tout ce qui n’est pas permis, juste pour voir la réaction des parents. Les règles « on ne tape pas, on ne mord pas, on ne dessine pas sur les murs, on ne vide pas la baignoire sur le plancher de la salle de bain, etc» sont vraiment agréable à outrepasser. Le mieux est encore de transgresser les consignes en regardant les parents droit dans les yeux, tout en arborant un magnifique sourire. Effet garanti.



La statue hurlante :

Une crise simple et efficace. Consiste à rester immobile, les mains contre le corps, les yeux fermés, et à pleurer en hurlant le plus fort possible jusqu'à ce que quelque chose arrive. La concentration est essentielle : on doit donner l’impression aux parents que notre vie est en jeu.



La honte publique :

Le truc est vieux comme le monde : profiter de la présence d’autres personnes pour décupler la portée de notre crise. Le centre commercial est un bon endroit pour s’y entraîner. On peut aussi agir en véritable diable devant la visite ou attirer l’attention sur nos mauvaises manières dans une réunion familiale. Le but étant de faire passer les parents pour des gens irresponsables.



La grève de la faim :
À l’heure des repas, les moyens de pression sont simples et directs. Refuser de manger et/ou exiger autre chose (préférablement sucré ou introuvable). Variante divertissante : Il est particulièrement drôle de voir le visage des parents lorsqu’on refuse de manger ce qu’ils considèrent être notre mets préféré.
Pour plus de succès, variez les plaisirs et parsemez vos journées de quelques bons moments. La confusion de vos parents n’en sera que plus grande. 
Ah ! Les magnifiques moments…  Il paraît que l’étape du « Terrible Two » est nécessaire aussi pour les parents. Il n’y a pas de grand secret, il faut simplement essayer de vivre cette première adolescence avec sérénité... Et pendant ce temps, en regardant aller ses parents, l’enfant est convaincu que le « Terrible Two », ce sont ces deux-là…


Source
Louis-Simon Ferland Blogueur

J'adore !!

    Ça me rappelle de bons souvenirs!!  

   

J'aime particulièrement la crise molle. Par contre, chez moi, le spécialiste en la matière c'est mon fils de 14 mois : CA PROMET !